Nabert ( N.), « Chateaubriand historien et voyageur », in Transversalités , 74, 2000, pp. 85-94.

NEE (Patrick), « L’ailleurs et l’ici dans le traitement du paysage des Martyrs », dans Société Chateaubriand. Bulletin année 2009, 52, 2010, pp. 103-115.

NEEFS (Jacques), « With a Live Hand : Three Versions of Textual Transmission (Chateaubriand, Montaigne, Stendhal) », dans Genetic Criticism : Texts and Avant-Textes , éd. Jed Deppman, Daniel Ferrer et Michael Groden, Philadelphie, University of Pennsylvania Press, 2004, pp. 96-115.

NEMOIANU (Virgil), « The Absent Center of Romantic Prose. Chateaubriand and His Peers », dans The Triumph of Imperfection. The Silver Age of Sociocultural Moderation in Europe, 1815-1848 , Columbia SC, University of South Carolina Press, 2006, pp. 3-33.

NEROZZI (Patrizia), « Sept ans de séjour en Angleterre (1793-1800) », dans Chateaubriand avant le Génie du christianisme (actes du colloque ENS Ulm), textes réunis par B. Didier et E. Tabet, Paris, Champion, 2006, pp. 11-27.

NEUMEYER (Harald), « " Wir nennen aber jetzt Melancholie " (Adolph Henke). Chateaubriand, Goethe, Tieck und die Medizin um 1800 », in Kunst und Wissenschaft um 1800 , éd. Thomas Lange, Würzburg, Königshausen und Neumann, 2000, pp. 63-88.

NORA (Pierre), « Chateaubriand, figure de l'intellectuel », in Chateaubriand éclaireur du monde actuel , dir. Jean-Marie Rouart, Paris, Éditions de la Bouteille à la Mer, 2000, pp. 103-113.

Nordmann (Jean-Thomas), « Le Couple fondateur de la critique romantique », in La Critique littéraire au XIX e siècle , Paris, Librairie Générale Française (« Le Livre de Poche »), 2001, pp. 26-38. [Le 2 e chapitre de cet ouvrage est consacré à Mme de Staël et à Chateaubriand : « Chateaubriand critique : la poésie des traditions religieuses et nationales », pp. 34-38.]